Il est en train de sécher sur les rotatives de La Rose, dans l'attente des "Petites mains" qui vont en faire l'envoi, et vous, petits veinards possédant une connexion internet, vous pouvez déjà le lire en version Magazine
Jeudi 17 et Vendredi 18 juin 2021 * Bourse du Travail *Marseille
Les chèques pour la Tombola Solidarité SAD/Gardanne sont à libeller au nom de USR CGT 13
Laversion PDF
Mais dans l'envoi Papier qui va vous parvenir dans les jours qui viennent, vous trouverez tout, y compris l'enveloppe-réponse, sur la LOTERIE SOLIDAIRE INTERGÉNÉRATIONNELLE mise en place par l'USR CGT - les Retraités du département 13
Pas la peine donc d'en dire plus sinon que vous pouvez participer à atteindre l'objectif départemental - 200.000€- à partir de 2€ le billet
C'est l'ouverture pas de la chasse mais de la pêche dans vos porte-monnaie. Pour ne pas payer 1 euro de trop, pensez à acheter la VO Impôts 2021 ( lien )
À partir d'aujourd'hui 8 avril 2021 , vous pouvez déclarer vos revenus sur http://impots.gouv.fr
Ne vous en prenez pas au facteur ou à la factrice, le Post Hier est encore en transit dans les locaux de La Rose et nous n'avons pas de service " Post Hier Suivi"
Mais vous le trouverez certainement en revenant de la
MANIFESTATION du 8 AVRIL 2021 --10 h Porte d'Aix -- Marseille
«Surtout, on ne change rien» a confirmé, avec désinvolture et un certain mépris, Emmanuel Macron mercredi soir. Inlassablement, depuis un an, il renvoie, dans les mots et dans les actes, chacun à ses responsabilités… pour mieux s’exonérer des siennes.
Si son pari est individuel, les conséquences sont collectives !
Ses injonctions à rester unis et mobilisés ne valent rien lorsque le gouvernement et sa majorité poursuivent la casse de ce qui fait notre commun. Quand ils continuent de saigner l’hôpital public, l’école, les services publics, les droits des salariés et tout ce qui contribue à l’égalité.
Son choix de l’austérité et du capital, nous le payons cher.
Tous les jours, avec les salariés dans nos entreprises et nos services, nous dénonçons et combattons avec force les conséquences de ce choix. Cet engagement quotidien sème au fil des luttes une envie de collectif, tord le cou au défaitisme et dessine les contours de perspectives de changement. Profitons du printemps pour les faire grandir.
Si le chemin est encore long, c’est en cultivant le commun que nous y arriverons.
Des occupations de théâtres aux débrayages dans les entreprises, en passant par la mobilisation des retraités ( plus de 80 rassemblements ce 31 mars) pour reclamer l'augmentation des pensions, sont autant de raisons de rester optimiste.
Profitons du mois d’avril pour poursuivre et amplifier ce travail et faire du 8 avril un grand rendez-vous de mise en commun des luttes.
Des dizaines d’assiettes en carton ont été accrochées devant l’Agence régionale de santé Paca (ARS), ce mercredi matin. Sur celles-ci, des messages pour le moins clairs : « Solidarité intergénérationnelle, transformation de la CSG en cotisation sociale » ou encore « Lutte contre la fraude fiscale = 80milliards d’euros, l’argent existe ». Cette action visuelle, ce sont les retraités du département qui en sont les auteurs, réunis en intersyndicale (CGT, FO, SUD, CFTC, FSU...) à l’occasion d’une journée de manifestation nationale.
La mobilisation marseillaise était aussi très bruyante, puisqu’elle était rythmée par une batucada (percussions afro-brésiliennes) tout le long du trajet. De quoi porter haut et fort les revendications des retraités. « Les retraités sont les principales victimes du démantèlement du système de santé et de la crise sanitaire », lance Josette Biancheri, de l’USR CGT devant les locaux de l’ARS. Elle fait notamment référence ici à la « perte de pouvoir d’achat» des retraités contre laquelle ils se mobilisent depuis des années. « On a perdu plus de 20%[de pouvoir d’achat]en 10ans. Quand on met le montant des pensions à côté des 100milliards du Plan de relance, on voit bien qu’on a que des miettes », développe Jocelyn Jauffret, de l’association LSR et de l’USR CGT.
Mais c’est bien contre une situation globale que les retraités se mobilisent. Plusieurs sujets les préoccupent : l’isolement, la fermeture des lieux culturels ou encore l’état d’urgence sanitaire... «La Covid-19 ne justifie en rien les mesures liberticides comme l’état d’urgence ou les décrets de fichages des militants syndicaux, politiques et associatifs», tonne François Chaintron, militant FO.
Pour la levée des brevets
La m
nifestation du jour portait tout de même des messages spécifiques en lien avec les questions de santé, Covid-19 oblige. « Nous demandons de lever la propriété privée sur les brevets des vaccins. Aujourd’hui, les laboratoires décident de la production, des acheteurs et des prix malgré les financements publics dont ils bénéficient», clame Josette Biancheri. Un avis partagé par ses homologues retraités, qui approuvent en applaudissant. Gratuité des masques et de l’ensemble des moyens de protection contre le virus, levée des brevets, c’est bien un accès aux soins facilité qui est demandé. «Nous devons attendre un mois pour être vacciné, ce n’est pas normal. Il faut des vaccins pour tout le monde! », conclut François Chaintron.
A l'article ci dessus de La Marseillaise.fr, je rajouterais que les postiers retraités que j'ai pu comptabiliser étaient au minimum une bonne quinzaine... Pas suffisant pour faire une révolution , assez pour mettre nos revendications sur le devant de la scène !